Cheval savoir a publié un excellent article sur les vices d'écuries.
Par le Professeur Frank Ödberg, Université vétérinaire de Gand, département de nutrition, génétique et éthologie.
Souvent, la stéréotypie devient un automatisme indépendant des facteurs qui l’ont causée
Un traitement symptomatique du tic est inacceptable du point de vue de l’éthique, car on enlève probablement à l’animal un moyen de supporter le stress
Il est nécessaire de repenser fondamentalement la gestion des chevaux en fonction des connaissances scientifiques actuelles
Une vision éthologique moderne des vices d’écurie
Par le Professeur Frank Ödberg, Université vétérinaire de Gand, département de nutrition, génétique et éthologie.
Le cheval n’a pas tellement besoin de variation dans sa vie, mais bien d’occupation. Vivant à l'écurie, le manque d'occupation constitue, avec le dressage inadéquat, la cause la plus importante de stress chronique et des problèmes de bien-être. D’où la naissance de la plupart des pathologies du comportement que l'on appelle dans le monde équestre les "vices d'écurie".
Comment lutter contre ces comportements ? Existe-t-il des remèdes efficaces ? Et est-ce réellement souhaitable de chercher à les contrer, alors que l’on suppose que leur exécution peut parfois apporter au cheval une compensation au stress ?
Souvent, la stéréotypie devient un automatisme indépendant des facteurs qui l’ont causée
Un traitement symptomatique du tic est inacceptable du point de vue de l’éthique, car on enlève probablement à l’animal un moyen de supporter le stress
Il est nécessaire de repenser fondamentalement la gestion des chevaux en fonction des connaissances scientifiques actuelles
Une vision éthologique moderne des vices d’écurie